Aller au contenu

RocInfos: Petit coup de gueule !!

    Un peu de lecture avec un article paru dans le dernier RocInfos !

    A l’heure du tout libre et tout gratuit participatif, initié sur le web notamment, il nous paraît important de rappeler que l’ECI ne souhaite pas que les contenus des RocInfos se dispersent à tous vents. Les Roc-Infos, protégés par copyright, sont réservés aux adhérents et les contenus relèvent du droit d’auteur. Nous constatons depuis quelque temps déjà, que des contenus des RocInfos, plus particulièrement les sites sportifs, se retrouvent rapidement en ligne sur C2C (et ailleurs). C2C est un site collaboratif intéressant pour les échanges sur l’alpinisme, le ski de rando, la cascade de glace, voire les grandes voies. Néammoins la mise en ligne des sites sportifs sous forme de topos littéraires, voire plus pour la version V6 de C2C à venir (schémas des voies en plus), pose problème : derrière ces terrains de jeu que vous parcourez avec tant de plaisir, se cachent des ouvreurs, équipeurs, qui donnent énormément de leur temps bénévolement pour équiper des voies. Et surtout, ces voies ont un coût, le matériel se paie !! Idem par la suite pour l’entretien (de ces sites), qui se paye aussi ! Rentrer des infos concernant les sites sportifs sur C2C, c’est mettre en danger la pérennité des actions de l’ECI (et du CD38 ffme) maintenant et pour les années à venir ! L’ECI et C2C sont pourtant 2 associations loi 1901 à but non lucratif : – La 1ère vous permet de grimper encore et toujours sur de nouvelles voies en Isère, et nous vous remercions encore ici de nous soutenir en adhérant . – La 2ème vous incite à « participer » en rentrant des infos ; mais derrière, CONCRÈTEMENT, quel rôle, quelle véritable création ? Quel intérêt si ce n’est au final encourager l’individualité pour une consommation personnelle et non réfléchie ?

    En conclusion :
    Vous voulez continuer à grimper sur des sites sportifs en Isère et des nouvelles voies ?
    Alors MERCI DE NE PAS DIFFUSER LES INFOS QUI VOUS SONT RÉSERVÉES. ET AU MOINS UN MINIMUM DE RESPECT ENVERS LES OUVREURS, ÉQUIPEURS, AUTEURS : LEUR DEMANDER LEUR CONSENTEMENT AVANT TOUTE INITIATIVE DE CE GENRE.